C'est le pays européen qui avait urbanisé le plus de terres durant les années 2000.
COURRIER INTERNATIONAL
5 AOÛT 2013
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Des maisons inhabités en Espagne. Lampernas 2.0/CC
Avant cette flambée de l'immobilier, plusieurs associations écologistes avaient voulu acheter ces terres alors classées comme agricoles. Mais elles s'étaient heurté aux réticences des propriétaires, qui "avaient l'espoir que leur terrain devienne constructible, pour le vendre à un meilleur prix", raconte José Luis Atienza, de l’association Seo Bird Life, cité par le quotidien. Aujourd'hui, Atienza affirme que l'Etat souhaite revenir sur les déclarations de constructibilité de nombreux terrains, afin de mieux préserver l'environnement.
Cette "folie de la brique", comme on l’appelle en Espagne, a participé à l'urbanisation de surfaces inondables (notamment des lits de rivières ou des zones proches des plages), ce qui a "amplifié les effets des catastrophes naturelles comme les inondations ou les chutes de neige importantes", avertit le journal.
In:
http://www.courrierinternational.com/article/2013/08/05/quand-la-crise-sauve-la-nature
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