31 de janeiro de 2014
Bienvenue dans les villes du futur
ÉDITORIAL
Dessine-moi une ville (intelligente)
ERIC CHOL
29 JANVIER 2014
Les villes utopiques ont toujours fait fantasmer les écrivains. En 1879, Jules Verne décrit dans son roman Les Cinq Cents Millions de la Bégum la cité idéale, qu’il implante aux Etats-Unis, sur les bords du Pacifique. France-Ville (c’est son nom) est régie par deux principes : l’hygiène – nous sommes à la grande époque de Pasteur – et la science. Avec, au passage, une touche écolo avant-gardiste : dans cette ville imaginaire, les fumées “sont dépouillées des particules de carbone qu’elles emportent”. A Masdar City (Emirats arabes unis) ou Songdo (Corée du Sud), on n’est déjà plus dans de la science-fiction : architectes et urbanistes font émerger grandeur réelle des villes-laboratoires, avec des vraies gens, mais aussi des vraies peurs : le black-out, la surveillance, le règne de l’hypertechnologie… Pourtant, ces fameuses villes intelligentes sont aussi des creusets d’innovation et préfigurent le monde urbain en devenir. Il y a urgence : comme le rappelle The Guardian sur son nouveau site Internet consacré aux villes*, la planète compte chaque année 60 millions de citadins supplémentaires. Ce qui nécessitera, jusqu’en 2050, la naissance d’une nouvelle ville de 1 million d’habitants tous les cinq ans, calcule le critique d’architecture Oliver Wainwright. Le débat sur les “smart cities”, comme on les surnomme, ne fait que commencer.
...
DOSSIER
Bienvenue dans les villes du futur
30 JANVIER 2014
De Masdar (Emirats arabes unis), véritable cité-laboratoire, à Songdo (Corée du Sud), les projets de développement urbain basés sur un usage massif des nouvelles technologies sont souvent d’origine privée. Un progrès pour l’humanité ?
D’ici à 2050, le nombre de citadins devrait doubler à la surface du globe, passant de 3,6 milliards en 2011 à plus de 6 milliards. Les nouvelles technologies aideront-elles à absorber cette croissance urbaine ? Certains le croient et imaginent des “villes intelligentes” où la gestion des ressources, des transports et de toutes les activités humaines serait optimisée. Beaucoup de gouvernements étant paralysés économiquement et politiquement, les projets qui commencent à sortir de terre relèvent souvent d’initiatives privées. Pour le bien de l’humanité ?
Les articles suivants font partie d'un dossier spécial villes du futur dans notre hebdomadaire n°1213
Masdar : la cité-laboratoire
En cours de construction près d’Abou Dhabi, ce projet de ville durable et intelligente est le plus ambitieux au monde. Visite guidée.
Masdar a l’air d’un mirage. De loin, la ville paraît un gros bâtiment multicolore dressé sur l’horizon. L’illusion tient en partie à sa situation singulière : près de l’aéroport d’Abou Dhabi, juste de l’autre côté de l’autoroute du golfe Persique, dans un coin de désert profondément inhospitalier. Masdar est séparé du centre d’Abou Dhabi par une trentaine de kilomètres de plaine hérissée de propriétés ostentatoires de la taille de la Cour suprême américaine et quadrillée de boulevards vides à si [...]
Lentement, Songdo s’éveille
Malgré des contretemps dus à la crise, la ville sud-coréenne accueille déjà plus de 68 000 résidents.
EBN | KO SOL-BONG
Qui prend la route de Songdo a l’impression d’entrer dans un autre monde. Surnommé “le Gangnam d’Incheon” [immortalisé par le chanteur Psy, Gangnam est à Séoul le quartier des nouveaux riches, de construction récente], Songdo est. cité par les habitants d’Incheon, ville maritime située à 40 kilomètres au sud-ouest de Séoul, comme le quartier où ils aimeraient le plus vivre. Il ne cesse d’ailleurs de gagner des résidents attirés par son cadre de vie. La pollution y reste minime. Un air pur et u [...]
Villes du futur : pas une solution pour l’Afrique
Sur le continent comme ailleurs, les nouvelles technologies sont l’apanage de bastions réservés aux plus fortunés. Pour prévenir l’exode rural, mieux vaudrait les mettre au service des campagnes.
NEW STATESMAN | LEO JOHNSON
“Imaginez… Vous vivez dans un endroit où une brise rafraîchissante vous caresse le visage pendant que vous contemplez un paysage luxuriant. Les oiseaux chantent sur votre passage, vous allez pêcher dans un lac à proximité, vos enfants peuvent jouer dehors sans danger…” Où se trouve l’endroit idyllique décrit par cette plaquette de présentation ? Migaa A Migaa, en périphérie de Nairobi, la capitale kényane. Migaa est une ville nouvellement sortie du sol, comprenant un hôpital privé, un centre de [...]
Les principaux projets de villes du futur de la planète
Nom : Masdar Localisation : Emirats arabes unis. Taille du projet : 5 km², 40 000 habitants, 1 500 entreprises. Date de livraison annoncée : entre 2020 et 2025. Caractéristique : le projet le plus démesuré. Imaginée par l’architecte britannique Norman Foster, Masdar a commencé à sortir des sables en 2008. Le sultan Ahmed Al-Jaber, ministre d’Etat et directeur général du projet, veut faire de cette ville une vitrine pour les Emirats arabes unis. Y seront déployés tout le savoir-faire et l’ex […]
Villes du futur, un bilan médiocre en Chine
La “ville intelligente” chinoise rencontre un vif succès auprès des municipalités : 300 à 500 villes, dans tout le pays, ont élaboré des projets de ce type. Mais les experts sont sceptiques, écrit le site économique Caixin. “Il ne peut pas y avoir de ‘ville intelligente’ en Chine, tout au plus peut-on espérer voir des ‘quartiers intelligents’”, affirme Yuan Chongfa, sous-directeur de l’Institut de recherche sur le développement urbain du ministère du Logement. L’enjeu est moins de construire de nouveaux ensembles que d’aménager l’existant. Ainsi, à Pékin, les quartiers sont spécialisés : certains sont affectés aux hôpitaux, d’autres aux institutions d’enseignement, d’autres aux commerces. Cela oblige les habitants à moult déplacements et à de fortes dépenses en transports. “Réussir à réduire de dix minutes le parcours d’une vieille dame jusqu’au marché ou d’un enfant jusqu’à l’école serait déjà un progrès”, affirme M. Yuan.
Pour Zhang Xinhong, directeur de recherche au Centre national pour l’informatisation, les “villes intelligentes” sont synonymes de “beaucoup de poudre aux yeux et peu de créativité”. Il rendait compte en janvier de l’évaluation de 31 projets menés en 2013. “Souvent les vieux problèmes des villes n’ont pas été résolus, et de nouveaux s’y sont ajoutés”, dit-il. On peut ainsi observer à certains carrefours des poteaux équipés d’une dizaine de caméras sans pour autant que celles-ci aident à améliorer les conditions de circulation. Les systèmes de collecte et de traitement de l’information se sont multipliés sans que l’on ait pris la peine de les connecter entre eux.
Ler mais:
http://www.courrierinternational.com/article/2014/01/31/bienvenue-dans-les-villes-du-futur?utm_campaign=&utm_medium=email&utm_source=Courrier+international+au+quotidien
http://www.courrierinternational.com/article/2014/01/29/dessine-moi-une-ville-intelligente
28 de janeiro de 2014
Modelos de Financiamento de Operações Urbanísticas: Desafios e Oportunidades
Quando:
28 de Janeiro de 2014
Onde:
Instituto Superior Técnico
Ver mais:
http://projectopercom.tecnico.ulisboa.pt/novo/workshop.html
Enviado por:
Ricardo Tomé
27 de janeiro de 2014
Ciudad abierta (I). Democracia, tecnología y ciudad
Ciudad abierta (I).
Conferencia de Evgeny Morozov
Conferencia inaugural del ciclo "Ciudad abierta", en el que también participarán Josep Maria Benet i Jornet, Marta Segarra, Manuel Forcano, Bruce Bégout, Rafael Chirbes, Erri de Luca, Richard Sennett y Kamila Shamsie.
Evgeny Morozov, uno de los críticos más lúcidos de la tecnoutopía, defiende que la implantación de las nuevas tecnologías en todas las áreas de nuestras vidas acarrea profundas consecuencias políticas, culturales y sociales a menudo ignoradas.
Quando:
27 enero 2014 - 19.30h
Onde:
Barcelona - CCCB
Participante:
Presentador: Joan Subirats
Ponente/s: Evgeny Morozov
Organiza:
CCCB
Programa:
Las tecnologías inteligentes están transformando nuestro mundo, haciendo nuestras vidas, en algunos aspectos, más eficientes, más cómodas y divertidas. A menudo, sin embargo, las consecuencias políticas y sociales de estos cambios pasan desapercibidas. La perspectiva de Evgeny Morozov, investigador experto en las implicaciones de la tecnología, es bien distinta. Según él, estamos delegando en la ingeniería técnica nuestra responsabilidad en la gestión de áreas fundamentales de nuestra vida privada y pública, de la sociedad y la política, y aceptando acríticamente estas transformaciones y sus consecuencias.
¿Qué desafíos y qué amenazas surgen cuando los espacios públicos se hacen “inteligentes” y pasan a integrar sensores, cámaras y diversos medios de regulación algorítmica?
Las compañías tecnológicas, después de haber optimizado la esfera pública, se ofrecen ahora con insistencia para mejorar nuestras ciudades. Pero los términos de esta optimización permanecen ambiguos y opacos, y las agendas de negocio de los vendedores de tecnología se imponen a menudo como una condición inevitable de la digitalización. En plena transición a la era post-Snowden, el coste de dejar la computación ubicua en manos de compañías privadas se ha vuelto doloramente claro.
¿Cómo podrían las ciudades beneficiarse de las tecnologías digitales sin sucumbir a los excesos optimizadores de la “smart city”?
Ver mais:
http://www.cccb.org/es/curs_o_conferencia-ciudad_abierta_i_conferencia_inaugural_de_evgeny_morozov-45283
Vídeo da Conferência:
http://www.publicspace.org/es/post/democracia-tecnologia-y-ciudad
Conferencia de Evgeny Morozov
Conferencia inaugural del ciclo "Ciudad abierta", en el que también participarán Josep Maria Benet i Jornet, Marta Segarra, Manuel Forcano, Bruce Bégout, Rafael Chirbes, Erri de Luca, Richard Sennett y Kamila Shamsie.
Toda ciudad es, por definición, abierta, lugar de acogida y de intercambio, de fricción y mezcla. Sin embargo, esta apertura provoca inevitablemente disonancias y contradicciones, y a menudo proliferan en la ciudad mecanismos para disciplinar y atenuar las diferencias. El Debate de Barcelona de este año reflexionará acerca de la condición utópica de la ciudad abierta, sus potencialidades y sus conflictos.
Evgeny Morozov, uno de los críticos más lúcidos de la tecnoutopía, defiende que la implantación de las nuevas tecnologías en todas las áreas de nuestras vidas acarrea profundas consecuencias políticas, culturales y sociales a menudo ignoradas.
Quando:
27 enero 2014 - 19.30h
Onde:
Barcelona - CCCB
Participante:
Presentador: Joan Subirats
Ponente/s: Evgeny Morozov
Organiza:
CCCB
Programa:
Las tecnologías inteligentes están transformando nuestro mundo, haciendo nuestras vidas, en algunos aspectos, más eficientes, más cómodas y divertidas. A menudo, sin embargo, las consecuencias políticas y sociales de estos cambios pasan desapercibidas. La perspectiva de Evgeny Morozov, investigador experto en las implicaciones de la tecnología, es bien distinta. Según él, estamos delegando en la ingeniería técnica nuestra responsabilidad en la gestión de áreas fundamentales de nuestra vida privada y pública, de la sociedad y la política, y aceptando acríticamente estas transformaciones y sus consecuencias.
¿Qué desafíos y qué amenazas surgen cuando los espacios públicos se hacen “inteligentes” y pasan a integrar sensores, cámaras y diversos medios de regulación algorítmica?
Las compañías tecnológicas, después de haber optimizado la esfera pública, se ofrecen ahora con insistencia para mejorar nuestras ciudades. Pero los términos de esta optimización permanecen ambiguos y opacos, y las agendas de negocio de los vendedores de tecnología se imponen a menudo como una condición inevitable de la digitalización. En plena transición a la era post-Snowden, el coste de dejar la computación ubicua en manos de compañías privadas se ha vuelto doloramente claro.
¿Cómo podrían las ciudades beneficiarse de las tecnologías digitales sin sucumbir a los excesos optimizadores de la “smart city”?
Ver mais:
http://www.cccb.org/es/curs_o_conferencia-ciudad_abierta_i_conferencia_inaugural_de_evgeny_morozov-45283
Vídeo da Conferência:
http://www.publicspace.org/es/post/democracia-tecnologia-y-ciudad
24 de janeiro de 2014
Newsletter 02
http://www.ordenaracidade.pt/
Newsletter 02 | 24 de Janeiro de 2014
Gostaríamos de agradecer todas as reacções de apoio e encorajamento ao ordenaracidade.pt e aproveitar para anunciar o lançamento de duas novas publicações:
- “Ordenar a Cidade”, de Jorge Carvalho, reedição de obra há muito esgotada, a que apenas é acrescentado um novo prefácio.
- “Planeamento de Equipamentos Locais”, da autoria de Jorge Carvalho e Rita Marinho.
Recebeu este email porque está registado na newsletter do grupo http://www.ordenaracidade.pt/
Se pretender dialogar connosco, reforçar pontos de vista, contestar as nossas opiniões, poderá usar o contacto de email geral@ordenaracidade.pt
21 de janeiro de 2014
Manifestações Espaciais Diferenciadas de Segregação Sócioespacial Induzidas pelo Planejamento Urbano
Infohabitar, Ano IX, n.º 462 (Novembro 25, 2013) a n.º 464 (Dezembro 09, 2013)
Manifestações Espaciais Diferenciadas de Segregação Sócioespacial Induzidas pelo Planejamento Urbano: Um estudo de caso - Aracaju-Brasil e Braga-Portugal
Anselmo Belém Machado
01-INTRODUÇÃO
Este artigo aborda a questão da segregação socioespacial e do planejamento urbano. Nele fizemos uma pesquisa e uma análise teórica inicial objetivando esclarecer as causas e as consequências dos vários problemas urbanos. De maneira geral o processo de urbanização acelerada e do aumento populacional vem historicamente reforçando a intensidade dos problemas do habitar e da gestão das cidades. Neste processo a segregação socioespacial os problemas nas cidades foram sendo intensificados provocando o caos no habitar e na qualidade de vida, portanto na saúde de seus habitantes, fazendo com que a necessidade de um planejamento urbano periódico seja obrigatória. Muitos são os problemas gerados na cidade e os reflexos negativos sobre as populações são maiores ainda, assim tentando propor soluções para estes problemas procuramos analisar o processo de evolução desta segregação sócio espacial a nível mundial. Neste artigo enfocamos o estudo numa análise comparativa inicial realizada em duas cidades selecionadas, Aracaju no Brasil e Braga em Portugal. Dentro do contexto do processo de crescimento urbano os problemas de segregação sócio espacial vêm se acumulando com níveis de intensidades especificamente diferenciadas no mundo. Estes níveis diferenciados de intensidade da segregação urbana, e posteriormente sócio espacial, são cada vez mais crescentes e foram com o tempo revelando como cada país ou região mundial interpretam e enfrentam estes problemas.
SUMÁRIO:
- Resumo
- 01 INTRODUÇÃO
- 02 O PLANEJAMENTO URBANO E O PLANO DIRETOR COMO RESPONSÁVEL PELA SOLUÇÃO DO PROBLEMA DA SEGREGAÇÃO SÓCIOESPACIAL
- 03 SEGREGAÇÃO SÓCIOESPACIAL COMO CONSEQUÊNCIA DOS DIVERSOS PLANEJAMENTOS URBANOS REALIZADOS NO PASSADO
- 04 MANIFESTAÇÕES ESPACIAIS DIFERENCIADAS DE SEGREGAÇÃO SÓCIOESPACIAL INDUZIDAS PELO PLANEJAMENTO URBANO - O ESTUDO DE CASO: ARACAJU-BRASIL E BRAGA-PORTUGAL
- 05 CONSIDERAÇÕES FINAIS
- 06 REFERÊNCIAS BIBLIOGRÁFICAS
Ler artigo:
http://infohabitar.blogspot.pt/search?updated-max=2013-12-01T12:18:00Z&max-results=30&start=2&by-date=false
Enviado por:
António Baptista Coelho
Manifestações Espaciais Diferenciadas de Segregação Sócioespacial Induzidas pelo Planejamento Urbano: Um estudo de caso - Aracaju-Brasil e Braga-Portugal
Anselmo Belém Machado
01-INTRODUÇÃO
Este artigo aborda a questão da segregação socioespacial e do planejamento urbano. Nele fizemos uma pesquisa e uma análise teórica inicial objetivando esclarecer as causas e as consequências dos vários problemas urbanos. De maneira geral o processo de urbanização acelerada e do aumento populacional vem historicamente reforçando a intensidade dos problemas do habitar e da gestão das cidades. Neste processo a segregação socioespacial os problemas nas cidades foram sendo intensificados provocando o caos no habitar e na qualidade de vida, portanto na saúde de seus habitantes, fazendo com que a necessidade de um planejamento urbano periódico seja obrigatória. Muitos são os problemas gerados na cidade e os reflexos negativos sobre as populações são maiores ainda, assim tentando propor soluções para estes problemas procuramos analisar o processo de evolução desta segregação sócio espacial a nível mundial. Neste artigo enfocamos o estudo numa análise comparativa inicial realizada em duas cidades selecionadas, Aracaju no Brasil e Braga em Portugal. Dentro do contexto do processo de crescimento urbano os problemas de segregação sócio espacial vêm se acumulando com níveis de intensidades especificamente diferenciadas no mundo. Estes níveis diferenciados de intensidade da segregação urbana, e posteriormente sócio espacial, são cada vez mais crescentes e foram com o tempo revelando como cada país ou região mundial interpretam e enfrentam estes problemas.
SUMÁRIO:
- Resumo
- 01 INTRODUÇÃO
- 02 O PLANEJAMENTO URBANO E O PLANO DIRETOR COMO RESPONSÁVEL PELA SOLUÇÃO DO PROBLEMA DA SEGREGAÇÃO SÓCIOESPACIAL
- 03 SEGREGAÇÃO SÓCIOESPACIAL COMO CONSEQUÊNCIA DOS DIVERSOS PLANEJAMENTOS URBANOS REALIZADOS NO PASSADO
- 04 MANIFESTAÇÕES ESPACIAIS DIFERENCIADAS DE SEGREGAÇÃO SÓCIOESPACIAL INDUZIDAS PELO PLANEJAMENTO URBANO - O ESTUDO DE CASO: ARACAJU-BRASIL E BRAGA-PORTUGAL
- 05 CONSIDERAÇÕES FINAIS
- 06 REFERÊNCIAS BIBLIOGRÁFICAS
Ler artigo:
http://infohabitar.blogspot.pt/search?updated-max=2013-12-01T12:18:00Z&max-results=30&start=2&by-date=false
Enviado por:
António Baptista Coelho
20 de janeiro de 2014
site - ordenaracidade.pt
Companheiros do CAID
Um grupo de profissionais de urbanismo e planeamento do território, alguns deles integrantes da investigação sobre Ocupação Dispersa que esteve na origem do nosso blogue, inauguram hoje um novo site, o ordenaracidade.pt
Visamos a divulgação de muito trabalho já realizado, em conjunto ou separadamente, e do que continuaremos a realizar. Liga-nos, sobretudo, a vontade de continuar a trabalhar em conjunto, a nível cívico e a nível profissional.
Como sabem:
- Fazemos uma leitura muito crítica sobre as transformações que têm vindo a ocorrer no território e sobre o sistema de ordenamento que tem vindo a ser praticado.
- Temos vindo a conceber, praticar e defender um modelo em grande parte alternativo, que pensamos coerente e eficaz.
Este site é mais uma peça da nossa militância para um melhor Território.
Abraço
Jorge Carvalho.
Ordenar a Cidade - Newsletter 01
http://www.ordenaracidade.pt/
Newsletter 01 | 16 de Janeiro de 2014
Nasceu o ordenaracidade.pt
Somos um grupo de profissionais de urbanismo e ordenamento do território, unidos por trabalhos profissionais e académicos e pela mesma vontade de melhorar o mundo em que vivemos!
O nome adotado - “ordenar a cidade” - exprime essa vontade de intervir, é para nós uma palavra de ordem.
O site agora inaugurado disponibiliza muito do trabalho já realizado, dará notícia do que continuaremos a fazer.
Consulte o ordenaracidade.pt, temos esperança que lhe possa ser útil.
Pelo grupo,
Jorge Carvalho
Caso não queira receber esta newsletter, por favor envie um e-mail para geral@ordenaracidade.pt com o texto “Quero deixar de receber a newsletter do ordenaracidade.pt” no assunto.
por Ordenar a Cidade
http://www.ordenaracidade.pt/ Portugal, Portugal
18 de janeiro de 2014
Ciclo de Cinema - "Radiant City"
http://www.nfb.ca/film/radiant_city |
Canadá, 2006 - 85 min
Documentário
Produção: Burns Film, National Film Board of Canada
Synopsis
by Nathan Southern
Radiant City, which represents the first collaboration between documentarist Gary Burns and journalist Jim Brown, takes as its springboard thesis the idea that suburban life is quickly becoming the norm for families across North America. It thus carries viewers inside of the "suburban mystique" via a protracted dissection of a clan that resides in a planned community, the Moss family. The film specifically examines how the suburban landscape, with its prefab houses, playgrounds, schools, strip malls, and community activities, continues to shape and define the lives and perceptions of these individuals -- from the father's involvement with a local theatrical troupe to the children's feelings of ennui and sense of removal from the neighbors in their subdivision. Burns offsets the picture's stark themes and undertones, however, with a sharp, wicked, and occasionally satirical sense of humor that never fails to catch the absurdities or ironies of this landscape. Musician Joey Santiago, from the band The Pixies, complements the images with a gritty rock soundtrack that draws out the sense of familial dislocation and desperation. The picture also traces the rise of suburbia historically, and features input by such suburban commentators as Mark Kingwell, from the University of Toronto, and writer James Howard Kunstler, who criticize the initial postwar model for suburban communities and suggest that it may not provide the optimal environment for living and raising a family.
In:
http://www.allmovie.com/movie/v358902
Ver também:
- http://en.wikipedia.org/wiki/Radiant_City
- http://www.imdb.com/title/tt0832937/plotsummary
Ver o filme:
http://www.nfb.ca/film/radiant_city
16 de janeiro de 2014
Debate Público Estratégia Nacional para a Habitação
10 de janeiro de 2014
The End of the Suburbs
The country is resettling along more urbanized lines, and the American Dream is moving with it
By Leigh Gallagher @leighgallagher
July 31, 2013
A major change is underway in where and how we are choosing to live. In 2011, for the first time in nearly a hundred years, the rate of urban population growth outpaced suburban growth, reversing a trend that held steady for every decade since the invention of the automobile. In several metropolitan areas, building activity that was once concentrated in the suburban fringe has now shifted to what planners call the “urban core,” while demand for large single-family homes that characterize our modern suburbs is dwindling. This isn’t just a result of the recession. Rather, the housing crisis of recent years has concealed something deeper and more profound happening to what we have come to know as American suburbia. Simply speaking, more and more Americans don’t want to live there anymore. The American suburb used to evoke a certain way of life, one of tranquil, tree-lined streets, soccer leagues and center hall colonials. Today’s suburb is more likely to evoke endless sprawl, a punishing commute, and McMansions. In the pre-automobile era, suburban residents had to walk once they disembarked from the train, so houses needed to be located within a reasonable distance to the station and homes were built close together. Shopkeepers set up storefronts around the station where pedestrian traffic was likely to be highest. The result was a village center with a grid shaped street pattern that emerged organically around the day-to-day needs and walking patterns of the people who lived there. Urban planners describe these neighborhoods, which you can still see in older suburbs, as having “vibrancy” or “experiential richness” because, without even trying, their design promoted activity, foot traffic, commerce and socializing. As sociologist Lewis Mumford wrote, “As long as the railroad stop and walking distances controlled suburban growth, the suburb had form.”
Then came World War Two, and the subsequent housing shortage. The Federal Housing Administration had already begun insuring long-term mortgage loans made by private lenders, and the GI Bill provided low-interest, zero-down-payment loans to millions of veterans. The widespread adoption of the car by the middle class untethered developers from the constraints of public transportation and they began to push further out geographically. Meanwhile, single-use zoning laws that carved land into buckets for residential, commercial and industrial use instead of having a single downtown core altered the look, feel and overall DNA of our modern suburbs. From then on, residential communities were built around a different model entirely, one that abandoned the urban grid pattern in favor of a circular, asymmetrical system made of curving subdivisions, looping streets and cul-de-sacs.
But in solving one problem—the severe postwar housing shortage—we unwittingly created some others: isolated, single-class communities. A lack of cultural amenities. Miles and miles of chain stores and Ruby Tuesdays. These are the negative qualities so often highlighted in popular culture, in TV shows like Desperate Housewives, Weeds and Suburgatory, to name just a few. In 2011, the indie rock band Arcade Fire took home a Grammy for The Suburbs, an entire album dedicated to teen angst and isolation inspired by band members’ Win and William Butler’s upbringing in Houston’s master-planned community The Woodlands. Although many still love and defend the suburbs, they have also become the constant target of angst by the likes of Kate Taylor, a stay-at-home mom who lives in a suburb of Charlotte and uses the Twitter name @culdesacked. “If the only invites I get from you are at-home direct sales ‘parties,’ please lose my number, then choke yourself. #suburbs.”
There is still a tremendous amount of appeal in suburban life: space, a yard of one’s own, less-crowded schools. I don’t have anything against the suburbs personally—although I currently live in Manhattan’s West Village, I had a pretty idyllic childhood growing up in Media, Pennsylvania, a suburb twelve miles west of Philadelphia. We are a nation that values privacy and individualism down to our very core, and the suburbs give us that. But somewhere between leafy neighborhoods built around lively railroad villages and the shiny new subdivisions in cornfields on the way to Iowa that bill themselves as suburbs of Chicago, we took our wish for privacy too far. The suburbs overshot their mandate.
Many older suburbs are still going strong, and real estate developers are beginning to build new suburban neighborhoods that are mixed-use and pedestrian-friendly, a movement loosely known as New Urbanism. Even though almost no one walks everywhere in these new communities, residents can drive a mile or two instead of ten or twenty, own one car instead of two. “We are moving from location, location, location in terms of the most important factor to access, access, access,” says Shyam Kannan, formerly a principal at real estate consultancy Robert Charles Lesser and now managing director of planning at the Washington Metropolitan Area Transit Authority (WMATA.) As the country resettles along more urbanized lines, some suggest the future may look more like a patchwork of nodes—mini urban areas all over the country connected to one another with a range of public transit options. It’s not unlike the dense settlements of the Northeast already, where city-suburbs like Stamford, Greenwich, West Hartford and others exist in relatively close proximity. “The differences between cities and suburbs are diminishing,” says Brookings’ Metropolitan Policy Program director Bruce Katz, noting that cities and suburbs are also becoming more alike racially, ethically, and socio-economically.
Whatever things look like in ten years—or twenty, or fifty, or more—there’s one thing everyone agrees on: there will be more options. The government in the past created one American Dream at the expense of almost all others: the dream of a house, a lawn, a picket fence, two or more children, and a car. But there is no single American Dream anymore; there are multiple American Dreams, and multiple American Dreamers. The good news is that the entrepreneurs, academics, planners, home builders and thinkers who plan and build the places we live in are hard at work trying to find space for all of them.
Ler artigo completo:
http://ideas.time.com/2013/07/31/the-end-of-the-suburbs/
Adapted from The End of the Suburbs: Where the American Dream is Moving by Leigh Gallagher, in agreement with Portfolio, an imprint of Penguin Random House. Copyright (c) Leigh Gallagher, 2013.
By Leigh Gallagher @leighgallagher
July 31, 2013
A major change is underway in where and how we are choosing to live. In 2011, for the first time in nearly a hundred years, the rate of urban population growth outpaced suburban growth, reversing a trend that held steady for every decade since the invention of the automobile. In several metropolitan areas, building activity that was once concentrated in the suburban fringe has now shifted to what planners call the “urban core,” while demand for large single-family homes that characterize our modern suburbs is dwindling. This isn’t just a result of the recession. Rather, the housing crisis of recent years has concealed something deeper and more profound happening to what we have come to know as American suburbia. Simply speaking, more and more Americans don’t want to live there anymore. The American suburb used to evoke a certain way of life, one of tranquil, tree-lined streets, soccer leagues and center hall colonials. Today’s suburb is more likely to evoke endless sprawl, a punishing commute, and McMansions. In the pre-automobile era, suburban residents had to walk once they disembarked from the train, so houses needed to be located within a reasonable distance to the station and homes were built close together. Shopkeepers set up storefronts around the station where pedestrian traffic was likely to be highest. The result was a village center with a grid shaped street pattern that emerged organically around the day-to-day needs and walking patterns of the people who lived there. Urban planners describe these neighborhoods, which you can still see in older suburbs, as having “vibrancy” or “experiential richness” because, without even trying, their design promoted activity, foot traffic, commerce and socializing. As sociologist Lewis Mumford wrote, “As long as the railroad stop and walking distances controlled suburban growth, the suburb had form.”
Then came World War Two, and the subsequent housing shortage. The Federal Housing Administration had already begun insuring long-term mortgage loans made by private lenders, and the GI Bill provided low-interest, zero-down-payment loans to millions of veterans. The widespread adoption of the car by the middle class untethered developers from the constraints of public transportation and they began to push further out geographically. Meanwhile, single-use zoning laws that carved land into buckets for residential, commercial and industrial use instead of having a single downtown core altered the look, feel and overall DNA of our modern suburbs. From then on, residential communities were built around a different model entirely, one that abandoned the urban grid pattern in favor of a circular, asymmetrical system made of curving subdivisions, looping streets and cul-de-sacs.
But in solving one problem—the severe postwar housing shortage—we unwittingly created some others: isolated, single-class communities. A lack of cultural amenities. Miles and miles of chain stores and Ruby Tuesdays. These are the negative qualities so often highlighted in popular culture, in TV shows like Desperate Housewives, Weeds and Suburgatory, to name just a few. In 2011, the indie rock band Arcade Fire took home a Grammy for The Suburbs, an entire album dedicated to teen angst and isolation inspired by band members’ Win and William Butler’s upbringing in Houston’s master-planned community The Woodlands. Although many still love and defend the suburbs, they have also become the constant target of angst by the likes of Kate Taylor, a stay-at-home mom who lives in a suburb of Charlotte and uses the Twitter name @culdesacked. “If the only invites I get from you are at-home direct sales ‘parties,’ please lose my number, then choke yourself. #suburbs.”
There is still a tremendous amount of appeal in suburban life: space, a yard of one’s own, less-crowded schools. I don’t have anything against the suburbs personally—although I currently live in Manhattan’s West Village, I had a pretty idyllic childhood growing up in Media, Pennsylvania, a suburb twelve miles west of Philadelphia. We are a nation that values privacy and individualism down to our very core, and the suburbs give us that. But somewhere between leafy neighborhoods built around lively railroad villages and the shiny new subdivisions in cornfields on the way to Iowa that bill themselves as suburbs of Chicago, we took our wish for privacy too far. The suburbs overshot their mandate.
Many older suburbs are still going strong, and real estate developers are beginning to build new suburban neighborhoods that are mixed-use and pedestrian-friendly, a movement loosely known as New Urbanism. Even though almost no one walks everywhere in these new communities, residents can drive a mile or two instead of ten or twenty, own one car instead of two. “We are moving from location, location, location in terms of the most important factor to access, access, access,” says Shyam Kannan, formerly a principal at real estate consultancy Robert Charles Lesser and now managing director of planning at the Washington Metropolitan Area Transit Authority (WMATA.) As the country resettles along more urbanized lines, some suggest the future may look more like a patchwork of nodes—mini urban areas all over the country connected to one another with a range of public transit options. It’s not unlike the dense settlements of the Northeast already, where city-suburbs like Stamford, Greenwich, West Hartford and others exist in relatively close proximity. “The differences between cities and suburbs are diminishing,” says Brookings’ Metropolitan Policy Program director Bruce Katz, noting that cities and suburbs are also becoming more alike racially, ethically, and socio-economically.
Whatever things look like in ten years—or twenty, or fifty, or more—there’s one thing everyone agrees on: there will be more options. The government in the past created one American Dream at the expense of almost all others: the dream of a house, a lawn, a picket fence, two or more children, and a car. But there is no single American Dream anymore; there are multiple American Dreams, and multiple American Dreamers. The good news is that the entrepreneurs, academics, planners, home builders and thinkers who plan and build the places we live in are hard at work trying to find space for all of them.
Ler artigo completo:
http://ideas.time.com/2013/07/31/the-end-of-the-suburbs/
Adapted from The End of the Suburbs: Where the American Dream is Moving by Leigh Gallagher, in agreement with Portfolio, an imprint of Penguin Random House. Copyright (c) Leigh Gallagher, 2013.
7 de janeiro de 2014
Antofagasta: Recuperación de Espacios Públicos y Calidad de Vida
Quando:
7 de enero - 17:00 horas
Onde:
Chile - Antofagasta - Auditorio de la Fundación Ruinas de Huanchaca
Cuatro reconocidos arquitectos se darán cita para debatir en torno a la recuperación de los espacios públicos y el rol de los arquitectos para contribuir en la mejora de la calidad de vida de la ciudad. La jornada se enfocará especialmente en la situación actual y futura de Antofagasta relacionada a este tema. En la actividad participarán Gonzalo Arteaga, Director Ejecutivo de Elemental, Ramón Coz, Arquitecto de Museo Ruinas de Huanchaca, Claudio Galeno, Arquitecto y Jefe de la carrera de Arquitectura de la UCN y Alejandro Gutiérrez, Secretario Ejecutivo del Plan Creo Antofagasta.
El seminario es parte del programa de actividades relacionadas a la exposición “Blanca Montaña” presentada por Minera Escondida y producida por Puro Chile, creadores del libro con el mismo nombre que inspira la muestra.
Ver mais:
http://www.plataformaarquitectura.cl/2014/01/03/antofagasta-recuperacion-de-espacios-publicos-y-calidad-de-vida/?ad_source=internal&ad_medium=widget&ad_name=events&ad_content=322997
7 de enero - 17:00 horas
Onde:
Chile - Antofagasta - Auditorio de la Fundación Ruinas de Huanchaca
Cuatro reconocidos arquitectos se darán cita para debatir en torno a la recuperación de los espacios públicos y el rol de los arquitectos para contribuir en la mejora de la calidad de vida de la ciudad. La jornada se enfocará especialmente en la situación actual y futura de Antofagasta relacionada a este tema. En la actividad participarán Gonzalo Arteaga, Director Ejecutivo de Elemental, Ramón Coz, Arquitecto de Museo Ruinas de Huanchaca, Claudio Galeno, Arquitecto y Jefe de la carrera de Arquitectura de la UCN y Alejandro Gutiérrez, Secretario Ejecutivo del Plan Creo Antofagasta.
El seminario es parte del programa de actividades relacionadas a la exposición “Blanca Montaña” presentada por Minera Escondida y producida por Puro Chile, creadores del libro con el mismo nombre que inspira la muestra.
Ver mais:
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6 de janeiro de 2014
"Cine y Arquitectura: Las 10 películas más vistas del 2013"
#10 Gran Horizonte / Martin Schwartz + Daniel Andersson
A través de un compilado de material recogido por Urban-Think Tank en el transcurso de tres años, este documental retrata la realidad de la informalidad urbana en todo el mundo -desde Nueva Dehli hasta Bogotá-, estructurado en un viaje irreal por el mundo en un solo día.
#9 74 Metros Cuadrados / Tiziana Panizza + Paola Castillo
Documental que retrata la travesía de las líderes de 150 familias en Valparaíso por conseguir la casa propia. El equipo acompañó a estas mujeres durante 7 años, abordando el tema de la integración social en el nuevo barrio, las divisiones en la comunidad y los desastres provocados por las lluvias en las nuevas viviendas. Una lucha por la casa propia que se repite a lo largo de todo Chile.
#8 Habana, El nuevo arte de hacer ruinas / Florian Borchmeyer + Matthias Hentschler
Un escritor, una pareja de ancianos cuya finca fue confiscada por el gobierno de Fidel Castro, el cuidador y único habitante-espectador de un teatro abandonado, el encargado de la mantención de un edificio de principios del siglo XX y su ex esposa y una joven que cada noche duerme con el miedo de que se desplome el techo de su casa, son las personas que cuentan en el documental sus vidas y sus sueños o conflictos desde el entorno en que viven, las ruinas mismas de la ciudad.
#7 Sobre mi tío y un pobre hombre rico / Jaques Tati
Una familia que desea por cualquier motivo representar el icono de la familia moderna (…) controlando absolutamente todo, incluso a ellos mismos, convirtiendo a la casa más bien en un mecanismo, una joya para ser admirada lejos de ser habitada, lo cual debiese ser su función principal.
#6 The Human Scale / Andreas Dalsgaard
Jan Gehl, arquitecto y profesor danés, ha estudiado el comportamiento humano en las ciudades durante 40 años. Ha documentado cómo las ciudades modernas repelen la interacción humana y asegura que podemos empezar a construir ciudades de una manera en que las necesidades humanas de la inclusión y la intimidad, sean tomadas en cuenta.
#5 Oblivion / Joseph Kosinski
Sobre las apocalípticas nubes de una Tierra devastada se levanta la casa “Sky Tower”, donde viven los protagonistas. La estructura -al parecer inspirada en la Casa Stahl (Case Study # 22) de Pierre Koenig-, se compone de finas líneas modernistas y grandes fachadas de vidrio sin marcos, incluyendo un helipuerto extendido sobre una impresionante piscina transparente. Artículo que revisa la influencia de la arquitectura en la película.
#4 Medianeras / Gustavo Taretto
Martín es un fóbico en vías de recuperación. De a poco va saliendo del encierro en su monoambiente y su adicción al mundo virtual. Mariana, recién separada, tiene tan desordenada la cabeza como el departamento en el que se refugia. ¿Deberían conocerse, no? ¿Cómo se pueden encontrar en una ciudad superpoblada y caótica como Buenos Aires? Medianeras. Lo mismo que los separa es lo que los une.
#3 César Pelli, un joven arquitecto / Miguel Rodríguez Arias
Su director pasó horas conversando con el arquitecto argentino en sus oficinas centrales en New Haven, Estados Unidos. Con 65 minutos de duración, el documental presenta un lado más humano del arquitecto y nos acerca a las dinámicas de trabajo de su equipo.
#2 Hierro 3 / Kim Ki-duk
El protagonista recorre la ciudad habitando casas vacías mientras sus habitantes no están en ellas, ocupa los espacios y artefactos, arregla algunos de ellos y deja todo intacto para luego partir en busca de una nueva casa.
#1 Archiculture / David Krantz + Ian Harris
Archiculture es un documental que analiza los puntos fuertes y los peligros de la enseñanza de la arquitectura. La película sigue a un grupo de jóvenes estudiantes a través de su último semestre en el Pratt Institute de Nueva York. Las interacciones y reacciones de los estudiantes ayudan a ilustrar los desafíos de ser un joven aspirante a arquitecto en el mundo actual.
Cita:
Franco, José Tomás.
"Cine y Arquitectura: Las 10 películas más vistas del 2013"
31 Dec 2013.
Plataforma Arquitectura.
Ver mais:
http://www.plataformaarquitectura.cl/2013/12/31/cine-y-arquitectura-las-10-peliculas-mas-vistas-del-2013/
5 de janeiro de 2014
O CAID faz hoje 5 anos
O CAID, criado com o objectivo de dinamizar uma rede informal de pessoas interessadas na reflexão sobre a Ocupação Dispersa, tem agora quase 200 sócios oriundos de diversas áreas do conhecimento e de vários países.
Para todos os amigos, inimigos e seguidores do
HAPPY NEW YEAR!
Crédito: postais Care2
Para todos os amigos, inimigos e seguidores do
HAPPY NEW YEAR!
Crédito: postais Care2
Conclusões do Projecto de Investigação "Custos e Benefícios, à escala local, de uma Ocupação Dispersa"
Apresentação utilizada no lançamento do livro:
"OCUPAÇÃO DISPERSA Custos e Benefícios, à escala local"
Coordenação de
Jorge Carvalho
Ver também:
http://www.dgterritorio.pt/noticias/nova_publicacao___ocupacao_dispersa_custos_e_beneficios_a_escala_local__
Comprar: http://www.dgterritorio.pt/produtos_e_servicos/publicacoes/outros_titulos/ocupacao_dispersa_custos_e_beneficios_a_escala_local__novo_/
4 de janeiro de 2014
Ocupaçao Dispersa: como Ordenar?
No Seminário "Ocupação Dispersa, Custos e Benefícios" que se realizou-se a 21 de Junho de 2011, foram apresentados os resultados do Projecto em quatro comunicações.
4ª Comunicação
Ocupaçao Dispersa: como Ordenar?
Ver também:
http://www.ua.pt/ii/ocupacao_dispersa/
Benefícios da ocupaçao dispersa
No Seminário "Ocupação Dispersa, Custos e Benefícios" que se realizou-se a 21 de Junho de 2011, foram apresentados os resultados do Projecto em quatro comunicações.
3ª Comunicação
Benefícios da ocupaçao dispersa
Ver também:
http://www.ua.pt/ii/ocupacao_dispersa/
3 de janeiro de 2014
Custos da ocupaçao dispersa
No Seminário "Ocupação Dispersa, Custos e Benefícios" que se realizou-se a 21 de Junho de 2011, foram apresentados os resultados do Projecto em quatro comunicações.
2ª Comunicação
Custos da ocupaçao dispersa
Ver também:
http://www.ua.pt/ii/ocupacao_dispersa/
Ocupaçao dispersa: delimitação e caracterização
No Seminário "Ocupação Dispersa, Custos e Benefícios" que se realizou-se a 21 de Junho de 2011, foram apresentados os resultados do Projecto em quatro comunicações.
1ª Comunicação
Ocupação dispersa: delimitação e caracterização
Ver também:
http://www.ua.pt/ii/ocupacao_dispersa/
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